martes, 27 de noviembre de 2012

Poli et la machine à laver magique





Poli et la machine à laver magique.

On était une fois....un conte.
Elle est Poli. Elle a cinq ans et elle est une petite fille très dormeur à qui lui plaît explorer de nouvelles choses et apprendre en jouant. Sa mère devait toujours contrôler toutes les grivoiseries que Poli réalise. Elle est une petite fille très inquiète et très audacieuse.
Ses grivoiseries  sont connues par tous ses voisins et très sauvent  ils ont eu à sortir en courant derrière d’ elle pour éviter qu'elle traverse la rue sans regarder ou éviter qu'un animal domestique d'un voisin s´est lancé sur elle fâché par ses grivoiseries.
Aujourd'hui Poli est malade dans le lit. Elle ne va pas aller au collège. Sa mère est partie à  travailler et l'a laissée au soin d'Anne,  sa madame de compagnie.
  Poli fatiguée d'être dans sa chambre sans faire rien et profitant une négligence d'Anne, s'est dirigée secrètement vers  le débarras où lui plaisait jouer avec les objets que se trouvaient inutilisé parce qu'ils étaient un peu vieux ou brisés.
 Ce qui lui plaisait plus à Poli était  jouer avec son petit ancien cheval en bois. Aujourd'hui Poli voulait se consacrer à  inspecter le terrain.
 Tout à coup elle est restée surprise après avoir vu au loin un objet qui jusqu'à présent lui avait passé inaperçu.
- Mais qu'est-ce que c'est ça ? - Poli pensait intérieurement. Mais si c'est une machine à laver antique.
Avec ces pensées Poli  s'est approché vers la machine à laver et a commencé à tirer de la porte et à presser les boutons.
  Tout à coup sans savoir  comme, elle s'est trouvé dans la machine à laver. Tout de suite ont commencé à apparaître quelques lumières de beaucoup de couleurs et une musique spéciale. Poli est tombée tout à coup à la vacuité. C'était une chute surprenante, légère, calme et douce. Il semblait qu'elle volait à travers de le machine. Tandis qu’elle tombait une multitude d'odeurs et de parfums ils se sentaient par les environs du tunnel.
Jusqu'à ce qu'enfin elle arrivât au sol. Elle est tombé débout et sans recevoir de type de dommage.
 Dès qu'elle est arrivée là elle est restée surprise par tout ce qu'elle a vu.
 Des milliers de lucioles rouges et jaunes se sont approchés vers elle et l'ont guidée vers le principe d'une grande grotte obscure et lugubre de laquelle sortaient quelques voix étranges et un bruit épouvantable. Poli ne savait pas le type de pays au lequel elle était arrivé à travers de la machine à laver mais maintenant elle pouvait seulement faire une chose, continuer pour le vérifier.
Dès que les lucioles sont arrivés au début de la grotte elles sont parties de nouveau. Immédiatement Poli s'est enfoncée vers la grotte. Dans ce moment, tout des alentours suivaient obscurs jusqu'à ce que tout à coup quelques petites lumières de flambeaux sont apparues. Elles volaient à travers de l'air et elles marquaient un chemin.
 Poli a suivi les lumières des flambeaux.
 À mesure qu'elle avançait commençait à écouter des petites voix que chantaient  une petite chanson.
Tout à coup elle a vu un grand groupe de fées et de lutins en entonnant des chansons et en lavant les objets qui semblaient être fabriqués dans un tissu ou un coton.
 Elle s'est approchée d'eux.
- Salut, je m'appelle Poli. Qui êtes-vous ? - la petite fille a demandé excitée.
- Salut, je suis Nica et je suis une fée. Ce sont mes amis, Soli qui est une fée comme moi et Coquin qui est un lutin. - la jolie fée a expliqué à Poli.
 - Ah! Et qu'est-ce que vous faites ici et qu´est ce que vous lavez ? - Poli a demandé avec beaucoup de curiosité.
 - C'est notre pays. Nous vivons ici. C'est le pays de l'harmonie, ou plutôt, était le pays de l'harmonie jusqu'à ce que le monsieur obscur des mensonges a venu à le détruire. - Nica a répondu avec un visage triste et démoralisé.
- Mais .Qui est le monsieur obscur ? Et pourquoi est ce que tu dis que ton pays est déchire ? J'aimerais savoir l'histoire. Tu pourrais me la dire ? – Poli a délicatement demandé aux êtres magiques de la machine à laver.
- Puisque avant nous vivions dans une harmonie et une joie. Notre pays était plein des fleurs de couleurs et de champs verts et propres. On respirait vérité, chaleur, équilibre, bonté et joie. Notre princesse de la Vérité faisait que tout était en ordre. Un jour monsieur du mensonge s'est installé dans le pays voisin et a commencé à envier l'harmonie de notre monde puisqu'il vivait toujours seul, entouré de la saleté de ses propres mensonges. Et voilà qu'il a voulu avoir un pays si joli comme le nôtre dès qu'il a enlevé la Princesse de la vérité pour pouvoir nous déstabiliser. Dès qu'il a retenu la princesse il nous a enfermés dans ce tunnel de lavage pour que nous nettoyons ici ses mensonges et avec celles-ci son monde obscur.
Tandis que le monsieur obscur continue de faire sa méchanceté et nous nous trouvons obligés jour après  jour à nettoyer ses méfaits et mensonges. Maintenant son monde est beau et le nôtre est devenu obscur et triste - Coquin a tristement dit.
 - Alors tout ça que vous êtes laver continuellement  ce sont sa méchanceté et son mensonges ? - Poli a demandé en regardant le tas d'objets sales qui avaient les petits lutins accumulateurs.
- Exactement... Son monde est à la fin du tunnel et tout ça  nous arrive continuellement. Nous n'avons pas sortie. - Nica a tristement dit.
 - Et  elles coûtent beaucoup à nettoyer. Elles sont si grandes, ses atrocités, que cela nous oblige à travailler pour lui sans se reposer. Et dessus notre monde devient plus obscur, par que les mensonges restent ici, au début du tunnel. Dans notre pays beau - il a dit en sanglotant
Mais vous savez  quelque forme de pouvoir affronter cela et libérer votre princesse ? - Poli plein d'espoir a dit.
- Nous ne pouvons pas. Monsieur des mensonges est très puissant. La manière unique serait libérer la princesse et bloquer le tunnel pour que ses mensonges et atrocités restassent avec lui et dans son pays - Nica a dit.
- Si nous recommencerions à créer une harmonie dans notre monde et nous recommencerions à être heureux -  elle a  dit. Mais nous ne pouvons pas, nos pieds sont collés au sol et nous ne pouvons pas nous libérer. Ses teintes sombres nous attachent au tunnel et nous ne pouvons pas sortir.
 - Eh bien, ne vous préoccupez pas - Poli a dit. Je vous libérerai. Je m'affronterai à monsieur des mensonges et je libérerai votre princesse. Après tous ensemble nous penserons la forme de fermer pour toujours le tunnel de lavage - Poli très ému a dit.
 - Tu es très brave. – Coquin a dit. Mais il n'est pas facile de le vaincre. D'abord pour arriver à lui tu as à traverser tout le tunnel jusqu'à arriver enfin. À travers de lui tu devras t'affronter à toute son obscurité qui circule sans repos. Dès que tu arrives enfin, tu auras cherché son grand château et pénétrer dans lui sans être vue. Après tu auras cherché où est la clef de la cage où il a la princesse retenue, et la libérer après rapidement tu as fuir à travers du tunnel. Avant d'être vue vous devrez bloquer la sortie et fermer pour toujours le tunnel. Tu auras à vérifier comment on peut fermer avant que monsieur des mensonges vous attrape. - Soli a attentivement expliqué.
- Je suis disposée m'affronter à lui- a dit Poli de manière très brave et convaincue.
 Après que s'est quitté de tous Poli a commencé sa marche  vers l'intérieur du tunnel.
 Elle a secrètement commencé à marcher dans l'obscurité. Elle ne voyait rien. Puis, elle a pensé que ne portait rien pour s'affronter aux mensonges et à l'obscurité qu'ils enveloppaient tout le tunnel. Les doutes ont commencé à s'installer dans son petit  cœur. Tout à coup des milliers et des milliers d'ombres sont apparus autour de Poli. Ils criaient et hurlaient sans repos. Ils ont commencé à tirer du cheveu de Poli et jusqu'à le lever par les airs. Poli a commencé à rouler et à rouler sans cesse par les airs. Mais en aucun moment elle a senti  peur. Elle était une petite fille très forte et très brave. Avec tout son courage elle se refusait à être menée par l'obscurité. Comme elle pouvait luttait avec toutes ses forces, mais ils étaient supérieurs à elle et tout de suite Poli est restée défaillie par la fatigue et la douleur. Quand elle s'est éveillée elle se trouvait étirée dans le tunnel entourée par les ombres qui  riaient sans cesse en le voyant démoli dans le sol. Tout à coup Poli, a rappelé que dans les tristes moments sa mère lui chantait toujours une douce chanson qui la faisait se relâcher et recommencer à sourire.
Dès que lentement Poli a commencé à chanter.
"Quand le soleil et la lune unis sont
 Les étoiles bondissent avec un art spécial
 Les anges brillent avec une chaleur essentielle
Que les nuages ni la pluie peuvent cacher.
Pachin, pachan, tra le li, tra
des vedettes chantent  sans arrêter de briller
Tra le li, tra nous allons a chanter
tous ensemble unis sans arrêter de danser.
 Quand triste tu seras et tu ne peux pas dormir
 Tu pense que dans un globe tu voles heureux
Tu pense qu'un mage es dirige vers toi
 et avec son bâton magique il te fera sourire.
Pachin, pachan, tra le li, tra
Mille vedettes chantent sans arrêter de briller
 Tra le li, tra nous allons à chanter
tous ensemble unis sans arrêter de danser
Tout à coup toutes les ombres sont restées tranquilles en écoutant la belle chanson qu'elle entonnait avec sa douce voix .
 Poli a fermé les yeux et elle  continuait  à chanter  la douce chanson avec tout l'amour avec lequel sa mère lui la chantait.
 Les ombres sont plus devenues chaque fois plus mignonnes. Jusqu'à ce que l'une d'elles osât dire tout à coup.
 - Mais quelle plus douce voix as tu! M'enchante comme tu chantes. Et qui sont ces couleurs qui se détachent avec ton chant ? - il demandé  à Poli.
-Je crois que c'est la couleur de l'amour - Poli a dit. C'est la chanson que ma mère me chantait toujours quand j’étais triste ou préoccupée. Je la chante comme elle me la chantait à moi – Poli a répondu.
 - Ah! – a dit une des ombres. Il nous n'ont jamais chanté rien de similaire. Il nous oblige à errer toujours sans repos et à faire mal. Nous ne connaissons pas cela que tu dis que s´appelle amour -  a dit la plus grande ombre du groupe.
 - Eh bien, ne vous préoccupez pas. Je vous apprendrai à chanter comme je le fais. Avec toute l'affection de mon cœur. Écoutez-moi!
 Et Poli a recommencé à entonner sa chanson maintenant dirigée aux ombres qui sont restées stupéfaites et admirées par la capacité que cette petite fille avait de changer la douleur et l'amertume qu'elles hébergeaient par la douceur et la joie grâce au rythme de sa chanson.
 - Personne ne nous avait jamais chanté également - a dit une des ombres en sanglotant.
 - Merci beaucoup pour nous avoir offerts un peu de ta joie - il a dit autre des ombres.
 - Nous sommes très reconnaissantes. Pouvons-nous faire quelque chose par toi ?
 Poli était très contente d'avoir obtenu que les ombres arrêtassent de lui faire mal et que  maintenant elles étaient de sa part et elles voulaient l'aider. Apres elle a dit avec sa douce voix habituelle :
  - Si que vous pouvez faire quelque chose par moi et par mes amis du pays de l'harmonie. Votre maître, monsieur des mensonges, a prisonnière  sa chère princesse et il les oblige à travailler fort pour nettoyer son pays plein de méchanceté et de rancune. J'ai besoin de libérer la princesse et de bloquer le tunnel pour que ses mensonges n'arrivent jamais plus au pays de l'harmonie. Dans le pays de l'harmonie tout était lumière et couleur jusqu'à ce qu'il s'emparât de la princesse du verité. - Poli a dit aux ombres qu'ils écoutaient attentivement.
  - Je crois que nous avons une grande responsabilité dans cela - il a dit abattue une des ombres.
  - Je ne crois pas - Poli a répondu. Vous êtes seulement produit de sa méchanceté mais si vous réussissez à arrêter de faire mal aux autres et vous arrêter de transmettre son obscurité vous vous transformerez dans lumière et couleur et vous pourrez revenir avec moi au pays de l'harmonie - Poli a dit très convaincue.
 - C´est certain ce que tu dis ? – a demandé une des ombres. Pourrons-nous jouir toujours de ces couleurs merveilleuses qui détachent tes chansons ? – a demandé la grande ombre.
 -Qui. Si vous m'aidez , vous vous arrêterez d'être méchants comme le monsieur obscur qui vous donne vie et par conséquence vous deviendrez légers et harmoniques en changeant vos couleurs obscures pour des autres meilleurs et plus lumineux - Poli a dit.
   - Puisque alors nous t'aiderons à le détruire- ils ont dit .
 Et après ils ont partagé toutes à la recherche du château de monsieur obscur disposé à le vaincre et à l'obliger à marcher.
 À mesure qu'ils s'approchaient au château le ciel et la terre a commencé à vibrer. Le monsieur des mensonges est sorti à la rencontre du groupe pour voir qu'il arrivait.
Du haut de son château il a vérifié que les milliers d'ombres qu'il avait créées se trouvaient disposés à s'affronter à lui.
  - Ne peut pas être! - monsieur des mensonges criait. Je suis votre maître et monsieur  et je vous ai créés pour faire mal. Vous ne pouvez pas vous affronter à moi - monsieur des mensonges a dit furieux.
 Mais les ombres se sont approchées chaque fois plus et plus à lui. Tout à coup il s'est trouvé enveloppé d'un nuage d'ombres que l'élevaient vers le haut du ciel. Après elles ont volé pour chercher la cage où se trouvait la princesse enfermée. Dès qu'elles ont découvert où était la princesse elles l'ont libérée en laissant dans son lieu enfermé à monsieur mensonges pour toujours pour qu'il ne pût plus continuer de faire mal.
  Tout à coup le monde des ombres a commencé à s'évanouir peu à peu entouré des lumières et des couleurs de toutes les ombres qui grâce à l'amour de la vérité s'étaient transformées.

De cette façon ils ont partagé tous ensemble à la rencontre des êtres magiques du monde de l'harmonie.
 Ils ont traversé de nouveau le tunnel qui gisait maintenant plus lumineux et propre que jamais et ils  sont arrivés au début de lui.
 Tous les lutins et les fées ont célèbre son arrivée . Ses chaînes avaient été dissoutes et tous chantaient à chœur très gaiement la chanson de Poli. Déjà ils n'auraient jamais plus à travailler pour monsieur des mensonges. Sa méchanceté s'était retournée contre lui même et maintenant il serait enfermé pour toujours et ses mensonges ne pourraient jamais plus leur faire mal.
Le monde de l'harmonie célébrait la rencontre avec sa chère princesse et ils ont disposé tout pour célébrer une grande fête pour remercier Poli pour tout ce qu'elle avait fait par ceux-ci.
 Après ils lui ont offert comme cadeau un collier en forme de fleur.
 - Poli, comme nous sommes si reconnaissants par tout ce que tu as fait par nous , nous te rêveront ce collier. À travers de lui tu pourras nos parler et tu peux venez nous voir les fois que tu voudras. Quand les doutes, la tristesse ou le regret envahiront ton intérieur, tu seulement  l’as  d'ouvrir et tu pourras nous percevoir à travers de lui - la princesse de la vérité a dit.
Poli était très contente et radiante avec son nouveau collier. Elle était très heureuse de pouvoir avoir aidé au monde de l'harmonie à récupérer son équilibre.
Poli s'est quittée de chacun d'eux puisqu'elle pensait qu'avait été absent beaucoup de temps et que sa mère et Anne pouvaient le regretter.
Avec beaucoup de peine dans son cœur s'est dirigée au commencement de la grotte et tout à coup a recommencé à se sentir transportée vers le haut entourée des images et de vibrations similaires à quand elle est entré pour première fois dans la machine à laver.
Sans savoir comment, elle s'est éveillé faite sursauter et elle s´a vu dehors de la machine à laver dans le débarras de sa maison.

Tout à coup elle a perçu que le monde de l'harmonie n'était pas déjà et qu'elle se trouvait de nouveau dans sa maison.
Avec un grand désespoir elle a cherché le collier pour vérifier que toute cette expérience n'avait pas été un sommeil. Et grâce au Dieu, il n'a pas été, puisqu' elle a pu vérifier que dans sa petite poche se trouvait le collier que la princesse de la vérité lui avait offert. Il semblait beau et resplendissant comme avant il n'avait jamais brillé.
 Tout à coup la porte du débarras a été ouverte et Anne est apparue.
- Mais regarde-la, si tu étais ici! - Anne a dit en recueillant du sol à Poli.
- Nous allons à ta chambre à coucher. Il est tard et tu as à faire la sieste. Je ne veux pas que tu  vas attraper froid.
Anne a mis le thermomètre à Poli et elle a vérifié qu'elle n'avait pas déjà de fièvre.
 - Mais si tu n’as pas déjà fièvre ?.C’ est vérité que tu te trouves meilleure, Poli ? - Anne a dit en touchant légèrement le front de Poli.
- Venez, allons à la pièce , petite fille.
Et avec ces mots elle a porté  Poli à la pièce.
Poli a fait la sieste plus tranquille que jamais accompagnée maintenant de son collier magnifique de l'harmonie.
Y colorín, colorado…este cuento se ha acabado
Los wikicuentos multiculturales
Mónica Zambrano







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